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  • : J'ai entrepris de raconter l'exhaustivité de ma vie sexuelle, de mes premiers amours homosexuels à mes expériences masos et domination, mes 3 mariages, et mes relations avec les prostituées. J'aie le sexe et suis fétichiste de la soie et de satin. Je veux faire partager mes passions au maximum et dans toutes les variétés de mes désirs. Bonne lecture
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  • Je suis une tapette fasciné par la soie et le satin. Je porte toujours des bas et un porte jarretelles, des chemises en satin, des gilets en soie. J'aime m'exhiber en satin. Je suis soumis, j'aime sucer des bites et être dominé par des femmes
Samedi 17 février 6 17 /02 /Fév 23:13

Ca ne marche pas toujours comme on voudrait avec les putes des fois c’est le fiasco !


Par exemple ce soir là il est 18h30 environ, je fais toute la route à la sortie de la ville à la recherche d'une pute pour me faire sucer et je n'en trouve pas sur mon coté, elles sont toutes de l'autre coté de la route.

 

 

 

Je suis très excité je porte le caleçon noir en soie avec des motifs blancs que j'ai acheté à Carrefour. C'est une taille 2, trop petite pour moi car je porte du  4 normalement, ainsi, il me serre bien les couilles. Il est très doux au toucher et je le le porte depuis 3 jours sans discontinuer. Pour bien mettre ma bite en évidence, j'ai mis sous le caleçon un string en Nylon noir avec des motifs dorés, acheté dans un sex-shop. Il n'a qu'une ficelle derrière qui me rentre bien dans la raie du cul. J'ai mis mon pantalon beige à braguette à boutons ce qui me permet de me caresser en défaisant un seul bouton. Ca m'excite beaucoup en voiture et je n'arrête pas de mettre ma main sur mon gland pour le caresser. Je porte un gilet sans manche en satin écossais dans les tons de rouge, qui me serre la taille de manière obscène: on a l'impression qu'il va éclater si j'éternue ! J'ai une cravate en soie assortie qui sort un peu du gilet, maintenu par une épingle à cravate. J'ai passé toute la journée dans cette tenue au travail et maintenant j'ai envie de concrétiser mon excitation

 

Avant d'arriver à l’endroit qu’on appelle le baisodrome,car il y a toujours plusieurs putes, je vois une fille qui me fait un signe de la tête sur le bord opposé. Elle a un teint un peu basané, des cheveux longs noirs et frisés, elle porte un bustier blanc en satin, très décolleté, qui  lui moule la taille et fait ressortir ces gros seins qu’elle a pratiquement à l’air, un short noir très court et très moulant avec une grosse fermeture éclair dorée en guise de braguette. Je continue jusqu'au prochain carrefour pour effectuer un demi-tour rapide car ma décision est prise: c'est avec elle que je vais aller. Tout en conduisant, je passe ma main dans la braguette ouverte de mon pantalon et je me caresse la bite et les couilles biens gainées dans la soie du caleçon. Mon cœur bat fort et mes mains tremblent.


Avant d’atteindre l’endroit où se trouve la fille, je quitte la route sur la droite et emprunte un chemin de terre qui me permet de la rejoindre par derrière un peu plus loin sans être vue de la nationale. Discrétion assurée. Je m'arrête à dix mètres d’elle. Elle m'a vu et vient vers moi lentement. Je baisse la vitre du coté passager et lui adresse le traditionnel :


- C'est combien?

- Cent francs la pipe ou deux cents francs l'amour. On va dans le petit chemin derrière, on est tranquille. On peut même sortir de la voiture et tu peux me sodomiser si ca te fait envie.


Elle a un accent très désagréable et très sûre d'elle. De  près elle est bien moins jolie et excitante que je ne l'imaginais. Elle est plutôt âgée, 55 ans, un visage ingrat et dur, mais elle a de gros seins qui tombent un peu et qui me font envie.


- Je peux te caresser les seins  pendant la pipe?

- Ah! il faut savoir, si tu touches: c'est 200 francs.


Comme elle voit que j'hésite, elle prend les devants en s'appuyant sur la portière


- Alors c'est bon ? Je monte ?


Je n'ai plus envie d'aller avec elle, elle ne me plaît pas, mais elle a pris l’ascendant et je n'ose pas partir. Elle l'  sentiset ouvre la portière en insistant:


- On y va ?


Je n'ose plus lui dire non, et puis je me suis tellement motivé pour venir que je la laisse monter, elle s'installe sur le siège passager avec son sac, elle se retourne pour m'indiquer le chemin:


- Tu recules et tu prend le chemin sur ta gauche. Alors qu'est ce que tu as décidé ? Tu touches ou pas ?


Je suis intimidé et ne sais pas que répondre. En tout cas je ne bande plus. Je m‘applique à manœuvrer comme elle me l'indique, et  pendant que je me range sur le côté, elle fouille dans son sac pour sortir un préservatif. Elle insiste :


- Alors, on fait l'amour ?

- Non juste une pipe, à 100 francs.

- OK, mais tu touches pas alors ?

- Juste un peu, tu me laisses caresser les seins.

- Comme tu veux, mais si tu touches c'est 200 francs.


Je ne peux lutter, elle a pris le dessus sur moi, j'ai envie de m'enfuir mais elle me domine et je lui obéis. Je lui donne un billet de cent francs qu’elle glisse dans son sac;


- Allez on y va. Défait ton pantalon et baisse ton siège.


Je me déboutonne rapidement et baisse caleçon et string d'un seul mouvement rapide; C’est tout le contraire de ce que j’avais envie de faire. Je voulais qu’elle me vois avec toutes mes soieries et qu’elle me caresse avant de mettre la capote, mais je n'ose pas le lui demander.


Elle me met la capote alors que je ne bande plus et me branle avec deux doigts pour me faire durcir et pouvoir me sucer. Elle est très habile mais je ne me sens pas disposé. Je passe mes mains autour de sa taille et lui caresse les seins. Elle se relève d'un coup:


-  Si tu touches je t’a dit que c’était plus cher. Il faut payer mon chou, sinon faut se contrôler ! Alles aboules 100balles de plus.

J’ai à peine touché mais je n’ose pas la contredire. Je me penche pour aller chercher le billet dans la poche de mon pantalon et je le lui tend

-          C’est bien mon chou.

 

 

Elle ouvre son corsage pour libérer ses seins qui tombent et  se remet à me branler, car je suis toujours mou, mais je me suis tellement excité auparavant, que je ne peux me retenir de jouir au bout de quelques secondes. Fiasco complet. Elle rigole:


- Mais qu'est ce que tu fais, tu vas trop vite !


Je suis honteux. D'un coup, elle m'enlève la capote et  m'essuie avec un sopalin. Je remonte mon pantalon maladoitement en m'arrangeant n'importe comment, je n’arrive pas à reboutonner ma braguette. Tant pis, je la laisse ouverte etje démarre aussitôt la voiture, je veux partir le plus vite possible. Je sens qu'elle me méprise complètement , qu’elle me prend pour un minable  Elle m'embobine pour que je la ramène en ville, à la gare, mais je refuse ce n’est pas mon chemin et je n’ai pas envie que l’on nous vois ensemble, d’ailleurs je ne  veux plus la voir. Mais elle insiste, presque en m'insultant, en me traitant d’impuissant, de pédé…et ne descend pas. Je fini par céder. "Tu es gentil quand même", elle se penche vers moi pour me faire un semblant de baiser sur la joue, mais je me recule, elle me  dégoutte. A peine parti, elle se met à fumer sans me demander la permission et utilise mon téléphone pour téléphoner à une copine à qui elle raconte l’histoire, en se moquant de moi, en m’appelant la tapette….  Elle lui décrit mon habillement avec de grands éclats de rire !

 Je finis par la laisser à la gare . Elle quitte la voiture sans un mot pour moi . Sur la route, j'ouvre toutes les fenêtres et roule à fonds la caisse. Ce n'est déjà plus qu'un mauvais souvenir.


Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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